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lundi, 17 novembre 2008

Comme un lundi

lundi.png Il est des jours où tout est à sa place.

Photo: Boulevard de la Croix-Rousse. Ce lundi de novembre 2008 ©.

dimanche, 16 novembre 2008

Comme un dimanche

IMG_0106.JPGPhoto : Comme un dimanche, à pas prudents, sur le boulevard de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008.

mercredi, 12 novembre 2008

Comme un mercredi ( tête au carré )

IMG_0081.JPGVu Montée de la grande-Côte à Lyon, un graff minimal transformant l'élément du paysage pour tirer au bout de sa flêche, un petit bonhomme clivé.

21st century schizoïd Man?

lundi, 10 novembre 2008

Comme un lundi (rue de la Tourette)

" Quand le sage s'assoit sur le mur, le lundi suit la flêche "

lundi bis 25.png

Droit devant, comme un lundi d'automne, rue de la Tourette à Lyon, qui se prend en diagonale du boulevard de la Croix-Rousse et descend en pente douce jusqu'à un coude, puis en pente forte jusqu'à la place Morel. C'est un chemin ancien puisque c'est une partie de la Montée des Carmélites qui était l'une des trois sorties de cette partie de la ville avec la Grande Côte (d'où viennent souvent nos graffs), et la Montée St Sébastien, (où  se prend un bout de la "ficelle" à station Croix-Paquet). Ce chemin est resté longtemps rural et a été construit au cours du XIXem siècle. La rue est consacrée aux logements (choc des photos) où vivent des drôles de gens aux cheveux rouges, aux cheveux verts , ils se nourrissent principalement de baies sauvages, d'amour, et d'eau fraîche, on compte dans cette rue pas moins de quatres experts comptables, mais là, pour les trouver, il faut suivre la flêche. Comme un lundi, on va compter...

dimanche, 09 novembre 2008

Comme un dimanche (Alcestien)

20 secondes à ne rien faire ...


lundi, 03 novembre 2008

Comme un lundi (Gris Bonnet et Bonnet gris)

usine rue bonnet .jpg

Elle est étrange cette petite usine de la rue Bonnet à Villeurbanne, toujours fumante, au milieu de friches, cachée derrière des arbres, dans sa tôle ondulée. On s'étonne qu'un tel lieu soit encore en activité. Il y a ici un mélange de vieille ville et de campagne triste, et jamais on ne voit aux heures de pause, sortir des ouvriers (qu'on imaginerait bien avec une gamelle en fer à la main, et le visage embarbouillé) mais non, personne et rien . Qu'est ce qu'on fabrique là ? nul ne le sait... Quel est le combustible qui épaissit le ciel à cet angle de rue méconnu, stratégique ? Quelle est l'âme qui nourrit ce feu?  Est-ce la même qui hante la nuit, le clocher de la charité et s'en revient le jour couvrir d'un épais voile cette rue fantômatique ? Certains signes ne trompent pas. Comme l'a toujours écrit "L'esprit des lieux": il n'y a pas de fumée sans feu ...

lundi, 27 octobre 2008

Le plus ou moins bel aujourd'hui ( Comme un lundi )

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Le vrai visage du lundi posant nu pour "certains jours" dans la campagne brionnaise. Photo septembre 2008 ©

lundi, 13 octobre 2008

Comme un lundi

" C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui."

Christophe DEJOURS : EXTR : "Travail usure mentale"/ Editions Bayard, 1ere ed. 1980, 2000.

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Christophe DEJOURS est professeur de psychologie au CNAM, psychanalyste et psychiatre et l'un des principaux spécialistes de la psychopathologie et de la psychodynamique du travail. Dans "Travail usure mentale", il se demande comment la souffrance au travail peut modifier le sujet de l'intérieur et quelles défenses psychiques stratégiques l'être humain est obligé de mettre en place parfois à son détriment face à la souffrance au travail. On constatera que le sujet est de plus en plus d'actualité, puisque sont apparues ces dernières années, de nouvelles pathologies liées à la souffrance psychique engendrées par le travail. Cette souffrance de nature mentale commence quand le rapport Homme-Travail est bloqué c'est-à-dire quand la certitude que le niveau atteint d’insatisfaction ne peut plus diminuer. De plus, contre la peur au travail, comme contre l’insatisfaction, des stratégies défensives sont élaborées par les Hommes de sorte que la souffrance n’est pas immédiatement repérable. La souffrance change avec les différents types d’organisation du travail mais ne disparaît jamais pour autant (...)

Si le sujet est coupé du réel et de la reconnaissance par autrui, il est renvoyé à la solitude de la folie classique connue sous le nom "d’aliénation mentale". Si le sujet entretient par son travail un rapport avec le réel, mais que son travail n’est pas reconnu par autrui, même si ce travail est dans un rapport de vérité avec le réel, il est là aussi condamné à la solitude aliénante. F. Sigaut désigne cette situation "d’aliénation sociale". Le sujet risque de basculer dans une folie qu’on confondra peut-être avec l’aliénation mentale, pour peu qu’il proteste et essaie de réclamer son dû (paranoïa), ou finisse par perdre confiance en lui (dépression) (...)
La peur n’est pas qu’imaginaire, elle correspond effectivement à l’exercice d’une menace parfois délibérée de la part de l’encadrement, selon des méthodes de management plus ou moins sophistiquées. Le problème posé est celui du consentement à participer à des actes d’injustice contre autrui ou de manipulation occasionnant de la souffrance à autrui, actes que pourtant on réprouve. Mais comment parvient-on à obtenir des gens qu’ils apportent le concours à des actes que cependant ils réprouvent ?
Comment un être humain peut élaborer une stratégie de défense qui vise, pour moins souffrir, à neutraliser, voire à paralyser la pensée de ceux qui travaillent et qui souffrent ? Le processus désigné par Christophe DEJOURS semble fonctionner tel un cercle sans fin où chacun harcèle l’autre et harcèle à son tour dans l’entreprise. Or, il arrive un moment où la chaîne se casse...

Sources des notes de lecture : CNAM  / LIENS UTILES ICI + ICI

Photo: Villeurbanne, avenue Roger Salengro: usure d'un bâtiment encore debout mais peinant dans le paysage...

dimanche, 12 octobre 2008

Comme un dimanche

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Juste au dessus des ruines gallo-romaines côté pentes, près du jardin des plantes, une vue partielle de Lyon, un dimanche au lever du jour. A cette heure où les rues sont encore vides, il est un temps où le silence prend un instant l'espace entre deux mouvements, l'un passé l'autre à venir, quand la ville immobile ressemble à un décor de théâtre un peu ancien...

mercredi, 08 octobre 2008

Comme un mercredi (un peu brumeux)

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Amoureux sur les berges du Rhône à Lyon, sous le regard d'une promeneuse solitaire. 08 Octobre 2008.

dimanche, 05 octobre 2008

Comme un dimanche

las-vegas-sur-lyon.jpgVogue by night, (ou Las Vegas sur Rhône.) Ici, un petit bout du  manège "rockn'roll", longeant le boulevard de la Croix-Rousse à Lyon, en direction de la mairie du 4em arrondissement. Photo prise ce dimanche d'octobre  2008, divertissements à suivre jusqu'au 12 novembre cette année.

lundi, 29 septembre 2008

Comme un lundi

preau.jpgJe me souviens des lundis matin qui commençaient avec les cours de monsieur Bouchard, et c'était à n'en plus finir des divisions à virgule, et des chiffres au carré, des robinets qui coulaient des baignoires qui se vidaient, huit cent poules qui pondaient en moyenne huit cents oeufs en huit jours et il fallait trouver combien d'oeufs quatre cents poules pouvaient pondre en quatre jours. C'était à deux villes distantes de 1000 km reliées par une double voie de chemin de fer, à un moment donné deux trains qui roulaient à 100KM/heure quittant chacune des deux villes en direction de l'autre et en même temps il y avait une mouche dont la vitesse était de 150km /H (une supermouche en fait), qui commençait un aller et retour ininterrompu entre les deux trains et on nous demandait quelle distance aurait parcouru la mouche au moment où les deux trains se croiseraient. et puis certains lundis il fallait calculer la valeur du produit soit : (x-a)(x-b)(x-d)(x-d)etc...(x-y)(x-z), en tout 26 couples de parenthèses avec a, b, jusqu'à z, des nombres quelconques réels ou complexes, des heures de calcul pour arriver à une suite égale à zéro car voyez vous, même un lundi (x-x) vaudra toujours zéro, et si on demande pourquoi, on vous répond que c'est comme ça ... mais qu'il faut le savoir pour plus tard, dans la vie, si on se marie, tout ça et qu'on trouve un travail... Les lundis de la vie...et puis après ça continue.Tout pareil.

Heureusement que déjà dans la cour... L'oiseau vogueur, perché sur la tête de la Vierge-Marie... Mais ceci est une autre histoire, du chapitre des bonnets d'ânes CLICK, ( Vous ne voudriez tout de même pas que je vous la raconte...)

dimanche, 28 septembre 2008

Comme un Dimanche

vogggoiso3.jpgSur le plateau de la Croix-Rousse à Lyon, depuis 150 ans, il y a ce qu'on appelait autrefois la "Vogue des Marrons". Au XIXem siècle, les lyonnais raffolaient des vogues (mot qui signifie "abondance", "affluence"). Elles étaient appelées aussi "fêtes baladoires" en l'honneur des bals qui s'y déroulaient et ne s'y déroulent plus tellement depuis que ce quartier a  perdu  beaucoup de son âme populaire.  La vogue a lieu de la toute fin septembre au 12 novembre (cette année) et rassemble plus de 70 forains. Palais des glaces, chenilles, petits manèges, barbapapa, grande roue etc... Elle eût d'abord lieu dans la grande rue de la Croix-Rousse puis gagna le boulevard après la démolition des remparts en 1866. Les lyonnais s'y rendaient en famille, on y proposait même des ménageries et des exhibitions de phénomènes du genre humain. Autant vous dire qu'elles n'y sont plus! La vogue se trouve aujourd'hui entre la mairie du 4em arrondissement et le gros caillou. Il y a toujours les marrons grillés, les gaufres et le petit vin blanc à boire non pas sous les tonnelles mais sur la place, sous la statue Jacquard qui sert aussi d'observatoire au vieil oiseau rebel (que j'ai toujours vu là:-) ce qui fait peur à l'oiseau vogueur mais ça c'est une autre histoire, (vous ne voudriez tout de même pas que je vous la raconte...)

mercredi, 24 septembre 2008

Comme un mercredi

coupl.jpg

Couple tranquille et tendre flânant place des Terreaux à Lyon, juste un peu à l'écart des citoyens en plein mambo et en pleine biennale de la danse...

lundi, 22 septembre 2008

Le 22 septembre (Comme un lundi)


Pieusement noué d'un bout de vos dentelles,

J'avais, sur ma fenêtre, un bouquet d'immortelles

Que j'arrosais de pleurs en souvenir de vous...


Georges BRASSENS : Extr: "Le 22 Septembre"   

 

autumn-leaves-2.jpg

 

 

 

 

  

dimanche, 21 septembre 2008

Guinguette (comme un dimanche)

guingut.jpgUne petite guinguette dans le quartier des Gratte-Ciel à Villeurbanne. Ce ne sera pas pour l'effet de style que je vous raconterai que la guinguette a fermé ses volets, mais il me semble ne plus y voir comme certains vieux dimanches, de beaux monsieurs à la moustache drue, aller chercher des dames en petites robes charleston pour les inviter à danser le twist , le jerk ou le ouhla ! hop !

Finie ! Terminée la guinguette, c'est comme les ballons. On n'en parle plus !

Rude époque .

Distraction du dimanche ICI : La guinguette a fermé ses volets par DAMIA.pdf